released October 20, 2017

Portfolio Robert Ethier : robertethier.bandcamp.com

Crédits :
Musicien : Robert Ethier (ProTools 11 & Reason 7)
Basse : Stéphane Faure (pièces 1, 2, 5 et 6)
Batterie : Vincent Gagné-Lacombe (finale pièce 6)
Idée piano arpégé : Julien Gagnon (pièce 5)
Idée finale basse/batterie : Christopher St-Louis (pièce 5)
Idée Rhodes/Moog inspiré par la basse : Stéphane Faure (pièce 3)
Composition musicale : Robert Ethier
Conception sonore : Robert Ethier
Échantillonnage "L'Adhan" : Robert Ethier (pièce 1)
Réalisation & Arrangements : Robert Ethier
Montage & Mixage : Robert Ethier
Mastering : Harris Newman - Grey Market Mastering : www.greymarketmastering.com
Photo, graphisme et conception pochette : Elizabeth Brouillard : www.elizabethbrouillard.com

Robert Ethier remercie : Geneviève Bouchard, Samuelle Ethier, Diane Rioux, Stéphane Faure, Vincent Gagné-Lacombe, Julien Gagnon, Harris Newman (Studio Grey Market Mastering), Distribution Believe Digital Canada (Karine LaFleur, Sophie Gaget, Georges Tremblay), Claude Dauphin, Dorothée Parent-Roy, Elizabeth Brouillard, David Harrisson, Christopher St-Louis (conseils et prêt équipements studio), Olivier René de Cotret, Alexandre Fournier, Armando Di Stefano et Denis Saindon. Une mention toute spéciale à mon ami Xavier Bourassa pour son courage inspirant.
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PRESSE

- Commentaires de Michel Handfield (2017-10-29), Societas Criticus, revue de critique sociale et politique :

[...] Écouter cet album en regardant les titres, c’est se faire un programme de cinéma ou un itinéraire.

On est dans le techno-house/musique du monde. Ça va plus loin que la house music ou le techno dance. On entend des sonorités d’ailleurs qui nous allument des souvenirs de films par exemple. Du moins pour moi. Pour d’autres, ce pourrait être des souvenirs de voyages. À chacun son cinéma et ses souvenirs.

Sur « Oriri, Pt. 1 », la première pièce de cet album, il y a ainsi un passage qui me fait penser à James Bond. Invariablement, à chaque écoute que j’en ai faite, le même sentiment.

En fait, c’est ça le mot : un album de « feeling », ce qui va plus loin que de l’house d’ambiance comme on en entend dans certains restaurants. Ça, c’est plutôt une musique pour se faire oublier et tamiser les bruits ambiants. On est ici face à un album qui s’écoute contrairement à certains albums technos/house qui ne servent qu’à faire lever les danseurs par exemple. Ça bat peut-être la mesure, mais ces disques sont souvent interchangeables. À part le tempo, y a-t-il de la profondeur?

On peut s’assoir et prendre plaisir à écouter « Shambhala City » comme on le ferait pour un album de jazz ou de musique du monde par exemple. On peut aussi l’écouter en vaquant à nos occupations. Pour ma part, je l’ai d’ailleurs écouté dans différentes situations. C’est même l’avantage du numérique sur le vinyle, car la musique, « notre » musique, nous suit partout dans ce format.

La musique et les arrangements de Robert Éthier sont recherchés. Pas surprenant qu’il fasse de la conception sonore comme pour le spectacle des « Muses » dont nous avons parlé plus haut. Sur cet album, tout aussi recherché que son précédent (Face-À-Face), il nous donne des sonorités classiques du patrimoine mondial. Il nous fait voyager dans notre esprit, avec rythme parfois. Mais, pas juste ça. Il y a aussi des élans de jazz et des effluves du monde comme avec « Monks » par exemple. C’est que le techno et l’house, c’est vaste comme nous le verrons plus bas en parlant du livre de Stéphane Jourdain. [...]
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PALMARES

- Vendredi, 20 octobre 2017, l'album Shambhala City monte jusqu'en 11ème position du iTunes Top 200 Releases Canada Electronic Chart.